[caption id="attachment_7356" align="aligncenter" width="630"]
Le Tuber melanosporum sera le roi de la fête ce samedi à Surgères[/caption]
Avis aux amateurs et fins gourmets, la fête de la truffe vous accueille dès 10 heures samedi 27 janvier à la salle du lavoir.
Au premier abord, le Tuber mélanosporum avec sa robe granuleuse marron noire et son aspect difforme ne suscite pas forcément l’envie et pourtant, au nez et en bouche, tous les amateurs succombent.
Et ils ne seront pas moins de 400 fins gourmets, acheteurs et curieux à se rendre à cette 41e fête de la truffe organisée par l’association des truffistes de Charente-Maritime.
Les festivités commenceront dès 10 heures avec le sacro-saint marché aux truffes. "Nous aurons avec nous sept producteurs truffiers tous du département et en moyenne 20 kg de truffes s’échangent pendant la fête", explique Alice Perron, présidente de l’association.
À raison de 800 euros le kilo, un prix élevé, les affaires devraient être bonnes cette année. "Mais c’est très fluctuant d’une année sur l’autre en raison de la météo et chez nous les conditions ont été relativement favorables, d’autres départements n’ont pas eu cette chance".
Pour en savoir plus, lisez L'HEBDO du jeudi 25 janvier.
Le Tuber melanosporum sera le roi de la fête ce samedi à Surgères[/caption]
Avis aux amateurs et fins gourmets, la fête de la truffe vous accueille dès 10 heures samedi 27 janvier à la salle du lavoir.
Au premier abord, le Tuber mélanosporum avec sa robe granuleuse marron noire et son aspect difforme ne suscite pas forcément l’envie et pourtant, au nez et en bouche, tous les amateurs succombent.
Et ils ne seront pas moins de 400 fins gourmets, acheteurs et curieux à se rendre à cette 41e fête de la truffe organisée par l’association des truffistes de Charente-Maritime.
Les festivités commenceront dès 10 heures avec le sacro-saint marché aux truffes. "Nous aurons avec nous sept producteurs truffiers tous du département et en moyenne 20 kg de truffes s’échangent pendant la fête", explique Alice Perron, présidente de l’association.
À raison de 800 euros le kilo, un prix élevé, les affaires devraient être bonnes cette année. "Mais c’est très fluctuant d’une année sur l’autre en raison de la météo et chez nous les conditions ont été relativement favorables, d’autres départements n’ont pas eu cette chance".
Pour en savoir plus, lisez L'HEBDO du jeudi 25 janvier. 
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.