[caption id="attachment_10150" align="aligncenter" width="630"] C’est un ATR 72, d’une capacité de 70 sièges, qui assura la liaison à raison de onze vols hebdomadaires (© DR)[/caption]
La compagnie caennaise a été retenue par le syndicat mixte des aéroports de La Rochelle-Ile de Ré et Rochefort pour exploiter la ligne La Rochelle-Lyon à compter du 3 novembre. Objectif : transporter plus de 25 000 passagers annuels sur cet axe.
Jusqu’alors assurée par Air France, la liaison entre les aéroports de La Rochelle et de Lyon sera, à partir du 3 novembre, confiée à la compagnie Chalair pour une durée de quatre ans.
Une reprise qui intervient alors que les opérateurs historiques, comme Air France et ses filiales, se retirent peu à peu des lignes exploitant des avions de 50 à 70 sièges. « Ils se concentrent sur des avions de 100 à 500 sièges. Ce qui crée une opportunité de marché que nous saisissons avec beaucoup d’ambition », affirme Alain Battisti, président de Chalair Aviation, qui a fait du Grand Ouest une zone de prédilection.
Pour en savoir plus, lisez L'HEBDO du jeudi 10 octobre.
 C’est un ATR 72, d’une capacité de 70 sièges, qui assura la liaison à raison de onze vols hebdomadaires (© DR)[/caption]
La compagnie caennaise a été retenue par le syndicat mixte des aéroports de La Rochelle-Ile de Ré et Rochefort pour exploiter la ligne La Rochelle-Lyon à compter du 3 novembre. Objectif : transporter plus de 25 000 passagers annuels sur cet axe.
Jusqu’alors assurée par Air France, la liaison entre les aéroports de La Rochelle et de Lyon sera, à partir du 3 novembre, confiée à la compagnie Chalair pour une durée de quatre ans.
Une reprise qui intervient alors que les opérateurs historiques, comme Air France et ses filiales, se retirent peu à peu des lignes exploitant des avions de 50 à 70 sièges. « Ils se concentrent sur des avions de 100 à 500 sièges. Ce qui crée une opportunité de marché que nous saisissons avec beaucoup d’ambition », affirme Alain Battisti, président de Chalair Aviation, qui a fait du Grand Ouest une zone de prédilection.
Pour en savoir plus, lisez L'HEBDO du jeudi 10 octobre.						
						
											
												
					 C’est un ATR 72, d’une capacité de 70 sièges, qui assura la liaison à raison de onze vols hebdomadaires (© DR)[/caption]
La compagnie caennaise a été retenue par le syndicat mixte des aéroports de La Rochelle-Ile de Ré et Rochefort pour exploiter la ligne La Rochelle-Lyon à compter du 3 novembre. Objectif : transporter plus de 25 000 passagers annuels sur cet axe.
Jusqu’alors assurée par Air France, la liaison entre les aéroports de La Rochelle et de Lyon sera, à partir du 3 novembre, confiée à la compagnie Chalair pour une durée de quatre ans.
Une reprise qui intervient alors que les opérateurs historiques, comme Air France et ses filiales, se retirent peu à peu des lignes exploitant des avions de 50 à 70 sièges. « Ils se concentrent sur des avions de 100 à 500 sièges. Ce qui crée une opportunité de marché que nous saisissons avec beaucoup d’ambition », affirme Alain Battisti, président de Chalair Aviation, qui a fait du Grand Ouest une zone de prédilection.
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 C’est un ATR 72, d’une capacité de 70 sièges, qui assura la liaison à raison de onze vols hebdomadaires (© DR)[/caption]
La compagnie caennaise a été retenue par le syndicat mixte des aéroports de La Rochelle-Ile de Ré et Rochefort pour exploiter la ligne La Rochelle-Lyon à compter du 3 novembre. Objectif : transporter plus de 25 000 passagers annuels sur cet axe.
Jusqu’alors assurée par Air France, la liaison entre les aéroports de La Rochelle et de Lyon sera, à partir du 3 novembre, confiée à la compagnie Chalair pour une durée de quatre ans.
Une reprise qui intervient alors que les opérateurs historiques, comme Air France et ses filiales, se retirent peu à peu des lignes exploitant des avions de 50 à 70 sièges. « Ils se concentrent sur des avions de 100 à 500 sièges. Ce qui crée une opportunité de marché que nous saisissons avec beaucoup d’ambition », affirme Alain Battisti, président de Chalair Aviation, qui a fait du Grand Ouest une zone de prédilection.
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