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Thierry Belhadj a reçu les étudiants qui vont devoir plancher sur la rue d’Aligre[/caption]
Dans la suite du projet de réfection du pont de la ville, le maire veut s’attaquer à l’épineuse rue d’Aligre.
Comment évoquer Marans sans parler de sa race de poule éponyme et unique, ainsi que de ses œufs extra-roux, dont la ville s’est fait la capitale. Mais également de sa rue d’Aligre, long ruban d’asphalte incontournable, qui relie la Charente-Maritime à la Vendée. Si les gallinacées et leur tout nouveau poulailler municipal conservatoire de la race tirent la ville vers le haut, la départementale 137 plombe littéralement l’ambiance.
Marans, ses quais bordant la Sèvre, sa halle Baltard, ainsi que sa richesse patrimoniale a des atouts indéniables et un potentiel de développement plus que certain. Malgré tout ces dernières années, la ville n’attire pas. Pire, sa population diminue régulièrement.
Pour en savoir plus, lisez L'HEBDO du jeudi 24 octobre.

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