"Un entrepreneur serait heureux s'il avait moins de normes, de lois, de restrictions. Des contrôles ? Pourquoi pas mais, aujourd'hui, on étouffe". Le constat dressé par Philippe Prosé, co-gérant avec son épouse Graziella, du camping quatre étoiles le Lagon de la Prée est amer. Une colère liée au refus des services de l'État d'accorder le feu vert pour réaliser une extension de 80 emplacements.
Les 2,8 hectares concernés, pourtant dans la continuité du camping, sont aujourd'hui classés agricoles donc non exploitables en loisirs. Alors même que les 199 autres emplacements d'origine pour chalets et mobile home - sur 5,2...
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