Les faits remontent entre 2016 et 2019. Ils sont prescrits pour l'une des trois patientes. Pour les deux autres, le masseur-kinésithérapeute a été sanctionné par son Conseil de l'ordre à un mois avec sursis à ne plus exercer. "Cette décision a été annulée la semaine passée sur la forme, mais pas sur le fond, par le Conseil d'État", précise Me Philippe-Henri Lafont, l'avocat de la défense, lors de...
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