Depuis son plus jeune âge, Mickael Gallo est bercé par la musique. Petit, il accompagnait régulièrement son père, chanteur dans un groupe, aux répétitions ou lorsqu'il jouait dans des bars. Puis il a commencé à chanter à l'âge de huit ans et demi dans une comédie musicale amateur. À 17 ans, il est pris dans une troupe amateur de cabaret, devenue professionnelle, dont il a suivi l'ascension. Son parcours l'a amené en finale de The Voice samedi 3 mai.
Dans quel état d'esprit vous trouvez-vous après cette finale ?
Ce n'est que du positif et du bonheur. La rencontre avec le public, les retours, j'ai actuellement plus d'une centaine de messages sur tous les réseaux confondus, et énormément de commentaires. Je vais prendre le temps de lire et de répondre à chacun parce que comme je dis le public n'est pas obligé de nous aimer mais s'il nous aime, la moindre des choses c'est de le remercier. Il fallait un gagnant, c'est le jeu, et arriver finaliste de son propre coach c'est déjà extraordinaire.
Qu'est-ce qui vous a le plus marqué pendant ce parcours ?
Ce qui m'a le plus marqué, c'est ma capacité à...
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