Chaque été, le Festival Off d'Avignon devient le théâtre de plus de 1 500 spectacles, dans une effervescence artistique rare. Pour de nombreux artistes indépendants, c'est l'occasion rêvée de confronter leur création au public, de croiser programmateurs et professionnels. L'an dernier, l'Angérienne Andromak Péquatre y présentait Confession d'une tatoueuse, un texte écrit avant la pandémie, entre récit de vie et chronique du monde du tatouage. Malgré la qualité du propos, l'expérience fut mitigée. " Il y avait un décalage entre le sujet et le style. C'était trop intellectualisé pour les gens qui aiment le tatouage ", concède-t-elle avec franchise.
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Des poux, des cheveux rasés, une apparence qui change...
Un constat qui a donné naissance à une nouvelle...
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