Dans le calme d'un petit atelier privé, à l'abri des regards, des femmes retrouvent confiance en leur reflet. Ici, à Mazeray, Gwènaëlle Brutsaert manie l'aiguille non pas pour orner, mais pour réparer. Son art, la dermopigmentation réparatrice, consiste à dissimuler les cicatrices, notamment celles liées à un cancer du sein, sous des tatouages en trompe-l'œil. Elle a ouvert son atelier Ink's Power, l'an dernier à la suite d'une reconversion professionnelle.
"Chaque séance est un moment d'émotion. Il ne s'agit pas seulement d'un tatouage, c'est un acte de reconstruction intime", confie-t-elle, la voix douce mais assurée.
Avant d'ouvrir son shop privé, cette mère...
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