À Burie, Pierre et Mauricette, 83 et 82 ans, vivent depuis toujours dans leur maison. Les années ont passé, les tuiles ont bougé, les infiltrations sont devenues menaçantes. La toiture risque de s'effondrer. Pour ce couple de retraités modestes, la rénovation devenait urgente, mais impossible à financer. "Ils avaient droit à des aides de l'Anah (agence nationale pour l'amélioration de l'habitat, N.D.L.R.), mais la part restante était trop importante", raconte leur petite-fille Cindy, qui a pris les choses en main. Le devis global approchait les 90 000 euros, dont 67 000 couverts par les aides publiques. Restait à débourser un peu moins de 20 000 euros de leur poche. Un montant inaccessible.
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